Passez sur la racoleuse titraille de cet amer billet; mais je dois reconnaître que je me demande comment on arrive encore à me lire ici, mon blog vit sa vie comme un warrior orphelin : plusieurs mois de silence qui ont une cause, comme on dit, “indépendante de ma volonté”.
En effet, ma découverte récente d’un don exceptionnel m’a amené à reconsidérer pas mal de chose.
Non mais je blague là . C’était pour que mes internautes passant exclusivement par l’accueil de ce blog continuent en cliquant sur “suite“.
En vrai, je suis tombé sur un hébergeur peu scrupuleux, mi-figue mi-raisin, un machin qui a fini par me prendre en otage si l’on veut mieux, ou comme s’exclamerait ma frangine : “Y’a un cochon dans le maïs, macarel !“
Bref, il va y avoir un migration-day dès que possible, quand j’aurai le temps de m’en occuper. Mes lecteurs seront affectueusement prévenus bien entendu, et je vous promets de bien belles nouvelles, de bien belles réflexions sur ma tranche d’expertise, de bien belles annonces de nouvelles réalisations.
En attendant, j’en suis réduit à survivre numéri-socialement via mon fil twitter. (à ce propos, j’ai mis à jour “facebooker malgré lui” pour annoncer quelques opérations de branding supplémentaires, depuis le temps…)
J’aurai plein de trucs passionnants à raconter sur mes tests de google wave, la nouvelle version de yacs dans le tiroir prêt à péter les cloisons, les liens entre l’éditorial et la collaborativité ou le community management. Enfin bon, j’ai le clavier chaud bouillant.
Mais un carnet de projets rempli à ras bord. Merci pour votre indulgence…
(NB : on peut aussi avantageusement se rabattre sur mes autres blogs)